La pandémie rend les voyages chaotiques, le passage à la gare s’avère traumatisant mais l’envie de partir est trop forte.
La sensation de vide perceptible dès l’arrivée aux quais laisse place à un sentiment d’angoisse et d’oppression. Tout semble figé, suspendu comme entre parenthèse, ici le temps s’est arrêté et les pigeons ont repris possession des lieux.